SPORTIFS: POURQUOI CONSULTER UN OSTEOPATHE?
Lors d’une activité sportive soutenue, l’effort réclame la disponibilité du potentiel physique. La résistance et l’élasticité de l’appareil musculo-squelettique sont sans cesse sollicités. A force de compensation, le corps s’expose à des risques d’accidents musculaires ou tendineux : claquages, tennis Elbow, tendinites chroniques…
Par les manipulations, on favorise l’élasticité locale du conjonctif, les échanges sanguins et l’élimination des déchets liés à l’activité sportive. On évite la perte de mobilité des zones charnières du corps, on améliore la réalisation du geste sportif et on autorise sa répétition.
Depuis plus de 15 ans, je suis aux côtés de nombreux Athlètes de haut niveau sur de multiples terrains de sport. Pour préparer au mieux vos échéances sportives, éviter des blessures, ou optimiser vos performances, profitez de mes soins et de mon expérience.
ORTHODONTIE ET OSTÉOPATHIE
QUEL LIEN Y A-T-IL ENTRE ORTHODONTIE ET OSTÉOPATHIE ? FAUT-IL VOIR UN OSTÉOPATHE LORS D’UN SUIVI ORTHODONTIQUE ? QUE PEUX FAIRE UN OSTÉOPATHE SUR UN TRAITEMENT D’ORTHODONTIE ?
La pose d’un appareil dentaire chez l’enfant répond à un souci esthétique et surtout à un besoin fonctionnel d’optimisation de la ventilation nasale et de la déglutition. En pleine croissance, le jeune enfant doit gérer cette contrainte mécanique nécessaire mais parfois fastidieuse. L’ostéopathe, dans sa perspective plus globale, offre le maximum de possibilités d’adaptation vertébrales et crâniennes.
La manipulation bien conduite peut assouplir le traitement orthodontique, améliorer la symétrie du résultat afin de ne pas nuire à la déglutition, à la respiration et aux grands équilibres statiques et fonctionnels.
POURQUOI CONSULTER UN OSTÉOPATHE PENDANT MA GROSSESSE ?
La grossesse doit se dérouler dans un relatif confort du dos de la mère et sans perturbation excessive du retour veineux des membres. L’accouchement sollicite les capacités extrêmes de mobilité du bassin pour faciliter le passage de la tête du bébé.
Une manipulation adaptée permet au bassin d’exploiter au mieux son potentiel d’élasticité. Lors du passage, le crâne du bébé se moule ainsi sans forcer lu le cadre osseux. La station debout peut elle aussi, être améliorée pour mieux gérer l’équilibre du corps de la mère.
COMMENT RETOURNER MON BÉBÉ ?
LE RETOURNEMENT DU BÉBÉ : DE ALLONGÉ SUR LE DOS À LA POSITION ASSISE MAINTENUE
Toutes les manœuvres de retournement et de portage du nourrisson seront enseignées et acquises par les parents au cours de la séance. Tout l’intérêt est d’entretenir par la fonction quotidienne les récupérations structurelles faites au cours de la séance d’ostéopathie. Ils pourront ainsi solliciter les capacités motrices de l‘enfant et prévenir les pertes de qualités élastiques du rachis cervical et du crâne de leur bébé.
Le bilan ostéopathique précoce, par sa perspicacité à interroger la déformabilité mécanique du conjonctif de l’enfant, peut permettre de mettre en évidence une dysharmonie de la base du crâne déjà présente ou en train de se développer.
La vérification de la libre déformabilité de la base crânienne constitue un moyen de prévenir et de traiter le crâne du nourrisson. Cette prise en charge dans les premiers jours ou semaines de l’enfant évite l’exagération de la plagiocéphalie (tête plate) discrète, souvent présente chez le nouveau-né. Les premières semaines de vie du bébé sont essentielles, car elles exploitent les capacités d’élasticité du conjonctif intra osseux crânien. Toute asymétrie, même minime, combinée à une posture de couchage ou une habitude de retournement non appropriée sera délétère. Le pronostic de récupération d’un crâne harmonieux dépend de la rapidité du diagnostic ostéopathique, de l’acquisition par les parents d’un nursing adapté et bien compris, et bien sûr du traitement mis en place.
PEUT-ON SE FAIRE REMBOURSER L’OSTÉOPATHIE PAR LA SÉCU ?
Non la sécurité sociale ne prend pas en charge les séances d’ostéopathie, cependant, en fonction de votre contrat votre mutuelle peut participer à votre prise en charge ostéopathique. Le nombre de séances et le coût du remboursement dépendent de votre contrat.
A votre demande, il vous sera prodigué une attestation de soins justifiant du nombre et du montant de vos séances.
A QUEL ÂGE DOIS-JE AMENER MON ENFANT CHEZ L’OSTÉOPATHE ?
DOIS JE CONSULTER UN OSTÉOPATHE POUR MON BÉBÉ ? EST-CE-QUE JE PEUX AMENER MON NOURRISSON VOIR UN OSTÉOPATHE ? POURQUOI AMENER MON NOURRISSON VOIR UN OSTÉOPATHE ?
L’ostéopathie chez les nourrissons peut faire peur et voici donc quelques réponses à vos questions fréquentes.
D’abord et pour faire simple, la visite chez l’ostéopathe n’est pas une obligation pour le nouveau-né. Toutefois il est vrai que l’approche ostéopathique complète bien la visite pédiatrique, qui cherche les anomalies et contrôle la bonne croissance et mise en place de la motricité de l’enfant. L’ostéopathe propose un complément et une approche différente sur l’état de santé du nourrisson ou du jeune enfant.
La pédiatrie traque la maladie, l’anomalie constitutionnelle ou motrice, là où l’ostéopathe vise au bien-être et au plein épanouissement fonctionnel du jeune enfant.
Ceci étant dit, si le but est de faire au mieux pour le bébé, je pense qu’une visite à la naissance en cas de grossesse ou d’accouchement « difficile. (la difficulté est à juger par la sage-femme qui voit tous les jours des accouchements et non par la primipare qui pense avoir vécu l’enfer lors de sa seule expérience d’enfantement.)
Cette visite doit être faite dans les tous premiers jours en cas de :
- Difficulté à téter pour le bébé
- D’incapacité à tourner sa tête d’un côté
- De déformation crânienne majeure (après avis pédiatrique)
En dehors de ces cas urgents, la visite ostéopathique de contrôle peut attendre le premier mois, et elle permet aux parents de mieux connaître les habitudes du bébé : - Il préfère un côté à l’autre
- Il se cabre souvent après le repas
- Il régurgite fréquemment
- Il a toujours les pieds en dedans ou une jambe qui louche sur l’autre
- Il a des difficultés à expulser les selles et pleure en poussant pour remplir sa couche…
Cette visite de contrôle du bon fonctionnement du bébé peut concorder avec le début de la prise en charge de la maman pour sa rééducation périnéale. Après la première visite de la sage-femme ou du kiné, la mère peut ainsi venir avec son bébé pour contrôler sa progéniture et sa propre statique et évolution fonctionnelle après accouchement.
COMBIEN DE TEMPS APRÈS MA GROSSESSE DOIS-JE VENIR CONSULTER UN OSTÉOPATHE ?
Là encore rien d’obligatoire. Disons que 3 cas classiques existent. La femme qui lors de la fin de grossesse ou de l’accouchement a contracté un souci particulier :
Entorse ou douleur hyper aigüe du coccyx
Impossibilité de donner le sein ou défaut d’alimentation d’un sein par rapport à l’autre
Douleur à type de sciatique ou de douleur dans un bras (sciatique du bras)
Douleur extrême du ventre à chaque téter (« tranchées ») Ce cas nécessite une prise en charge en urgence en maternité ou au plus vite au cabinet.
La femme qui, après quelques semaines post-partum traine toujours une gêne ou une douleur résiduelle de son ventre, son bassin, son dos etc.
L’idéal est de consulter son ostéopathe après la première visite de rééducation périnéale qui pourrait révéler un autre souci plus intime de cette zone. La visite ostéopathique peut alors être jumelée avec la première visite de contrôle du bébé ce qui évite les déplacements intempestifs.
Enfin, la femme qui va bien après son accouchement et qui désire voir si son corps a bien récupéré de cette expérience, malgré tout physiologique, devrait attendre la fin de sa période d’allaitement pour juger de son retour à son statut de femme non enceinte.
En effet, la femme change de statique dès la conception, (+/-9 mois) et retrouve un équilibre de femme non-enceinte après l’arrêt complet de la lactation, quel que soit la durée de la période d’allaitement.
Cette visite visera à s’assurer la bonne récupération de déformabilité du bassin et des autres référentiels statiques, de la bonne trophicité des muscles du ventre et de la libre déformabilité des organes entre eux, de la récupération d’une démarche normale et harmonieuse garante d’un bon drainage des membres inférieurs.
QUAND PUIS-JE REPRENDRE MON ACTIVITÉ SPORTIVE OU MON TRAVAIL APRÈS LA SÉANCE D’OSTÉOPATHIE ?
L’ostéopathie structurelle qui vous ait proposée à notre cabinet vise à récupérer les capacités de trophicité (nutrition et croissance des organes) et d’élasticité de votre conjonctif (tissu qui occupe les intervalles entre les organes) ; et ce quel que soit la zone traitée : colonne vertébrale, membres, ventre ou crâne et quel que soit l’âge du patient. Une fois ce travail structurel réalisé, il faut que ces capacités de déformabilité et d’élasticité du conjonctif soient entretenues. Rien, mieux que la physiologie, c’est-à-dire la vie de tous les jours, ne peut remplir cette mission d’entretien des tissus conjonctifs.
L’ostéopathe lève la lésion ostéopathique et c’est vous qui entretenez l’état de fonctionnement de votre corps.
quel sport choisir quand on a mal au dos
Toutefois quelques remarques s‘imposent :
Si vous êtes un sportif convaincu et régulier, courir 15 ou 20 KM par jour c’est votre physiologie. Si vous êtes un sédentaire, courir 15 Km relève de l’exploit sportif et non de votre physiologie. Il en est de même pour les habitudes alimentaires ou les rythmes de travail. Retrouvez votre rythme de fonctionnement habituel dès que possible est le meilleur moyen d’entretenir la qualité de votre conjonctif, d’exploiter pleinement votre potentiel et donc de ne pas revenir chez l’ostéopathe trop vite. Il est donc inutile de respecter une période de non activité sportive, alimentaire ou professionnel pour laisser « sécher » le travail de l’ostéopathe.
Ecoutez votre corps et quand vous fatiguez ou mieux avant de fatiguer, arrêtez vous !
Toutefois, il est difficile de passer d’une activité rendue impossible par un blocage articulaire ou autre à une pleine activité quotidienne. De plus et c’est important, il semble que cette pleine activité n’est pas sue entretenir votre organisme puisque vous êtes venu consulter, en panne (traumatisme ou cause extrême mise à part). Votre régime de base ne semble pas entretenir votre structure. 2 constations s’imposent :
« Il me faut reprendre à mon rythme mais jusqu’à l’obtention de mon plein régime. »(Bien sûr, là, courir 3 X par an diffèrent de courir 2 fois par jour.)
Il me faut intégrer à mon régime de base des exercices ou habitudes qui améliorerons l’entretien quotidien de mon organisme. C’est pourquoi :
- Certains conseils alimentaires,
- certains étirements à pratiquer régulièrement afin d’exploiter au mieux votre potentiel mécanique de déformabilité
- Certaines prescriptions à consulter un naturopathe, un acupuncteur peuvent vous être proposées.
Ils n’ont pour but que de vous aider à mieux entretenir votre « chez vous » et éviter de revenir trop tôt chez nous.
DOIT-ON CONSULTER UN OSTÉOPATHE EN PRÉVENTION ?
L’ostéopathie n’est là que pour réparer les zones en lésion qui ont perdues leurs capacités élastiques de déformabilité et n’a pas vocation à vous garder en forme en multipliant le nombre de visites. 2 à 3 visites par an semblent hors cause exceptionnelle, une bonne moyenne de consultation.
L’OSTÉOPATHIE : JE N’Y CROIS PAS !
DOIT-ON CROIRE EN L’OSTÉOPATHIE ? L’OSTÉOPATHIE EST-CE QUE ÇA MARCHE ?
Autant de questions qui reviennent régulièrement, car l’ostéopathie est parfois méconnue. Voilà donc quelques éléments de réponses à vos questions.
L’ostéopathie est une thérapie manuelle héritée de gestes ancestraux améliorés par les connaissances anatomiques et physiologiques récentes. Elle ne relève pas de la croyance du patient. Elle peut être efficace si l’indication est justement posée mais n’a pas vocation à régler les problèmes organiques qui relèvent de la médecine, ni les problèmes émotionnels ou énergétiques qui ne sont pas du domaine de l’ostéopathie. Le champ d’action de l’ostéopathie structurelle est uniquement mécanique et ne cherche qu’à restaurer les qualités élastiques du tissu conjonctif (tissu de soutien des autres tissus). Il n’y a donc pas à croire ou pas à l’efficacité de l’ostéopathie, il faut juste que votre ostéopathe pose le bon diagnostic, pour voir si votre problème de santé relève de l’action de l’ostéopathie structurelle. Si vous voulez maigrir ou arrêter de fumer, par exemple cela ne relève pas de l’ostéopathie.
Combien de temps doit-on patienter après une séance d’ostéopathie ? Combien de séances chez l’ostéopathe sont nécessaires ?
En règle générale l’ostéopathie, quand elle est pratiquée dans son domaine de compétence, doit améliorer votre état de santé en 2 ou 3 séances maximum. Au-delà de ces quelques séances, l’angle thérapeutique choisi n’est pas le bon. S’il vous faut 10 séances pour commencer à aller mieux, alors changez de thérapeute ou de thérapeutique.
POURQUOI CONSULTER UN OSTÉOPATHE SI MON MÉDECIN N’A RIEN TROUVÉ ?
DOIS-JE CONSULTER UN MÉDECIN OU UN OSTÉOPATHE ? POURQUOI CONSULTER UN OSTÉOPATHE ? QUELLES DIFFÉRENCES ENTRE UN MÉDECIN ET UN OSTÉOPATHE ?
C’est une bonne remarque et elle est très représentative du monde qui sépare la médecine dite classique de la médecine manuelle comme l’ostéopathie. C’est même là son fondement. En effet, la médecine soigne des maladies et s’occupe de repérer des problèmes ORGANIQUES, c’est pourquoi elle a à faire des examens complémentaires : photos, radios diverses, dosages, bilans… qui objectivent une pathologie organique. Pour faire simple : un trou, une masse dans un organe, voir pas d’organe, sont du domaine de la médecine.
L’ostéopathie structurelle ne peut rien sur ce qui est usé, mal formé ou cassé : c’est du domaine de la médecine ou de la chirurgie.
L’ostéopathie matérialise sa complémentarité en ne s’intéressant qu’aux pathologies fonctionnelles (c’est-à-dire non organiques). Elle ne s’intéresse qu’aux aspects mécaniques du fonctionnement du corps humain. Ainsi, quand la médecine n’objective rien lors de vos examens, cela ne veut pas dire que vous n’avez rien mais que vous n’avez rien d’organique. Reste tout un cortège de pathologies mécaniques ou autres qui peuvent expliquer votre plainte.
Nous, ostéopathes structurels, ne nous préoccupons que du versant mécanique, c’est à dire des rapports de déformabilité, d’élasticité des éléments anatomiques les uns par rapport aux autres. Vous avez remarqué qu’aujourd’hui, après une entorse de cheville on ne « plâtre » plus s’il n’y a pas de fracture. (Du moins ne devrait-ont plus le faire).
Le médecin a objectivé par une radio qu’il n’y a pas de rupture organique, il n’y a donc pas lieu de vous immobiliser par un plâtre. Dans ce cas, la restauration des qualités conjonctives (soutien des autres tissus), éléments osseux et ligamentaires par un ostéopathe, vous aideront à retrouver au plus vite une capacité fonctionnelle de votre cheville.
« J’ai mal au dos mais mes radios sont normales, alors je n’ai rien… »
Pareillement, votre dos ne se limite pas à sa constitution mais également aux rapports mécaniques des éléments entre eux, c’est le travail de l’ostéopathe.
« Mon bébé se tortille tout le temps mais l’échographie ne montre rien et j’ai changé 3 x de lait ? »
Quelles sont les possibilités de déformabilité du ventre de votre enfant sachant que la vascularisation et l’innervation des organes passent entre les organes digestifs dans un double feuillet péritonéal. Ainsi deux organes accolés par des « adhérences fonctionnelles » entrainent des souffrances qui n’ont rien de comparable avec une maladie organique.
L’ostéopathie trouve sa place quand la médecine a éliminé toute explication organique et a parfois tendance, à trop vite expliquer le problème par un trouble psychologique. L’ostéopathie et sa vision mécanique de l’anatomie doit se faire mieux connaître de la médecine pour que le généraliste sâche au mieux vers qui adresser ses patients.
EST-CE QUE VOUS ALLEZ ME REMETTRE MA VERTÈBRE EN PLACE ?
Le langage courant trompe parfois sur la réalité des choses. Aucun thérapeute ne peut vous remettre vos vertèbres pour la bonne raison qu’elles ne sont pas déplacées. Quand une vertèbre a quitté sa place c’est un traumatisme tel que vous êtes déjà aux urgences où un orthopédiste va réduire la luxation articulaire.
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Il n’en est rien chez l’ostéopathe ou n’importe quel thérapeute manuel d’ailleurs. Pour faire simple, disons que l’articulation a perdu ses qualités élastiques au cours du temps, faute d’une parfaite utilisation quotidienne. Mais qui peut se targuer de faire tous les jours la gymnastique idéale pour son corps, sans excès ni déficit d’entretien. Cette zone peu à peu sous utilisée va obliger le corps à adapter son organisation pour satisfaire la réalisation d’un geste, quitte à ce qu’il se fasse plus ou moins bien. Au cours d’un geste quelconque, pas forcément mal fait, la physiologie ne peut répondre à la demande. L’articulation qui devrait aider à réaliser le mouvement n’est pas disponible, elle est bloquée, le geste est fait mais pas dans le respect de la physiologie. L’articulation force sur ses éléments articulaires, capsule, ligaments et sur ces éléments à distance, muscles, fascia, peau. Cette contrainte va étirer le conjonctif qui engendre une douleur.
Bien sûr, un geste violent et intempestif peut aboutir à cette douleur mais c’est parfois un geste anodin qui suffit à demander à la zone un geste que seul l’articulation bloquée aurai permis de réaliser correctement.
« Je me suis baissé pour ramasser un timbre et depuis je suis coincé ! »
En fait non, vous étiez déjà porteur d’une zone mal exploitée, mal entretenue, la zone que l’on qualifie « en lésion » dans notre jargon. Lors de la demande d’un geste anodin –ramasser un timbre au sol- vous êtes venu utiliser d’autres articulations et muscles que ceux qui doivent permettre ce mouvement et vous avez contraint le conjonctif à trouver une solution pour vous baisser. Vous vous êtes « déplacé votre vertèbre ». Plus le geste délétère est anodin et plus vous étiez bloqué antérieurement. On peut vivre avec ce type de blocage pendant des années sans en souffrir. Tant que vous trouvez un moyen de contourner l’obstacle, tant que les articulations périphériques trouvent un moyen d’adapter, vous ne vous bloquez pas. Puis un jour, moins en forme, un peu fatigué, moins vigilant, vous refaites la même demande au corps qui malheureusement cette fois n’a d’autre solution que de venir solliciter la zone bloquée depuis des semaines ou des années.
QUEL SPORT DOIS-JE FAIRE POUR NE PLUS AVOIR MAL AU DOS ?
DOIS-JE FAIRE DES ABDOMINAUX POUR RENFORCER MON DOS ? POURQUOI ALLER À LA PISCINE QUAND ON A MAL AU DOS ?
L’activité sportive est un moyen et non un but. Aujourd’hui il est de bon gout de faire du sport en plein air peu importe lequel mais faire du sport. En fait c’est l’activité physique qui compte pas forcément de mettre le survêtement.
Demander à un maçon ou un agriculteur de lever de la fonte dans une salle de gym alors qu’il a porté et bougé plus de poids que n’importe quel sportif durant sa journée de travail ne présente aucun intérêt. Mobiliser et assouplir une colonne vertébrale restée 8 heures devant un écran à tout son sens. Si pour le faire vous préférez jardiner, bricoler ou faire du ménage ce n’est pas important, seule la stimulation dans une activité différente de votre poste de travail compte.
Alors bien sûr, il y a l’incontournable bon conseil de votre médecin de famille : « Allez à la piscine et nagez sur le dos ». Premièrement, force est de constater que lors de votre séjour à la piscine vous n’y rencontrez pas votre médecin, attentionné à nager sur le dos ; ne chercher pas il est au golf, lui.
Deuxièmement il est étonnant de constater que cette lubie de faire nager les gens sur le dos n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse et ne repose que sur l’idée que dans l’eau et sur le dos le rachis vertébral est aligné donc ne souffre pas, voir il guérit. Alors cessons là toute polémique, l’activité est bonne et surtout celle que vous pratiquerez avec plaisir. Le cheval n’est pas pire que le vélo ni que la course à pied, du moment que ces activités sont pratiquées avec mesure et avec plaisir.
Nager sur le dos pour satisfaire votre médecin ne sera pas plus profitable qu’une balade en forêt où vous découvrez les joies de la cueillette des champignons. Il faut donc varier les activités et se faire plaisir à les réaliser. Le yoga, le tai chi, le foot ou l’escrime ont tous des avantages et des inconvénients. Ils sollicitent tous des groupes musculaires en particulier et le bon sens reste de varier ses activités. Si vous êtes coiffeur à vélo, évitez de faire du cyclotourisme et tout ira pour le mieux.
sportifsEn général, les gens cherchent à se muscler pour solidifier leur dos. Cependant notre patientèle est remplie de sportifs, puissants, forts, compétitifs mais un peu raides.
Si il est une règle à respecter c’est de chercher de la souplesse plus que de la force musculaire.
Le renforcement des abdominaux a heureusement perdu de sa notoriété et aujourd’hui on privilégie la méthode « Pilate » qui cherche à gainer par un travail sur les muscles posturaux. La tendance est au stretching et autres méthodes d’étirement et c’est bien ainsi.
Restez souple, mobilisez les articulations dans des amplitudes inhabituelles pour vous, et vous conserverez votre capital santé.
DOIS-JE CHANGER DE LIT OU D’OREILLER POUR DORMIR ? DOIS-JE ACHETER UN FAUTEUIL ERGONOMIQUE POUR MON TRAVAIL ? MON MATELAS EST-IL TROP MOU ? POURQUOI JE DORS MIEUX CHEZ MOI ?
La « machine humaine » est bien faite, elle s’arrête seule pour se reposer. Le sommeil est indispensable à la vie. Durant une vie de 75 ans vous aurez dormi 25 ans et rêvé 5 ans. Cette phase de mise au repos est automatique et permet une remise à niveau de votre potentiel pour le lendemain. Pour dormir vous allez chercher une position confortable qui permet de placer votre corps dans une organisation adéquate pour détendre le contrôle actif de vos muscles dynamiques et posturaux. Cette position de confort vous est propre et dépend des zones que vous mettez au repos musculaire. De même, la pression exercée par un appui sur le ventre peut perturber ou soulager votre confort digestif. Si vous souffrez de reflux elle vous irritera, si vous avez des gaz intestinaux elle vous soulagera.
IL N’Y A PAS DE BONNE POSITION STANDARD DE SOMMEIL MAIS DES POSITIONS QUI VOUS SONT PLUS OU MOINS CONFORTABLES.
L’idéal serait comme un chat ou un jeune enfant de pouvoir dormir n’importe où et n’importe quand. Avec les années et l’installation de zones moins souples on ne peut plus maintenir confortablement telle ou telle position. On ne peut plus dormir sans « Son » oreiller ou sans tel matelas à mémoire de forme. Vous investissez dans des moyens pour adapter votre corps. C’est dommage si vous avez encore la possibilité de restaurer les qualités de souplesse et d’organisation de vos articulations en général. Il serait plus logique d’entretenir au mieux votre corps et l’élasticité de votre conjonctif plutôt que d’utiliser des artifices couteux pour protéger une zone qui ne veut plus se déformer.
Je ne parle pas ici des gens handicapés ou malades qui profitent à raison d’un poste de travail aménagé ou d’outils de confort indispensables. On connait tous des anciens qui se déplacent avec tel oreiller, tel coussin pour s’assoir, tel tapis de souris pour écrire sur le clavier de l’ordinateur.
Je vous invite à suivre l’exemple du jeune enfant ou du chat.
Entretenez votre souplesse faites des activités physiques qui vous assouplissent, faites-vous manipuler les zones qui manquent déjà de déformabilité. Investissez dans la vie, dans le mouvement et non dans la petite mort programmée. N’écoutez pas les grincheux qui vous interdisent telle position sur le ventre pour dormir ou de vous avachir sur tel canapé au péril de votre santé. N’écoutez pas les vendeurs de nuits délicieuses après l’achat couteux de tel matelas. Le meilleur moyen de trouver le bon matelas est de noter au cours d’une nuit à l’hôtel ou chez des amis, la qualité de mousse du matelas où vous avez si bien dormi. Plus que la marque du fabricant c’est bien l’indice de la qualité de la mousse qui compte. Elle diffère de celle de votre conjoint et c’est normal. Les matelas sont aujourd’hui vendus séparément pour un lit double. Certains aiment dormir sur du dur quand leur corps est assez souple pour épouser la position de confort, d’autre ont besoin d’un matelas très mou pour que le corps se love confortablement.
NOUS NE SOMMES PAS FAITS POUR ÊTRE IMMOBILES SAUF QUAND ON EST MORTS.
Quant au siège magique pour ne pas souffrir du dos devant son écran n’investissez pas trop vite. La vie c’est le mouvement et pour satisfaire à cet adage il vous faut être le plus souple et déformable possible. L’idéal est de pouvoir changer de position lors des stations prolongées. Ne pas avoir un siège qui vous impose une seule et unique position aussi ergonomique soit-elle. Le corps et le bassin en particulier possèdent une richesse ligamentaire qui réagit à chaque instant pour présenter votre assise dans une organisation adéquate.
Votre assise, votre position de travail, de sommeil de conduite en voiture doit donc constamment solliciter alternativement tel ou tel ligament, telle ou telle articulation. C’est pourquoi on commence à voire des personnes préconiser de s’assoir sur un gros ballon. Des architectes et ingénieurs ont déjà réfléchi à la question et les sièges STOKKE que vous avez pu essayer au cabinet sont le fruit de leur recherche.
BOUGEZ, CHANGEZ DE POSITION, ALTERNEZ LES SITUATIONS ET VOUS SOLLICITEREZ VOS DIFFÉRENTES ARTICULATIONS, MUSCLES ET LIGAMENTS AU PROFIT DE VOTRE HYGIÈNE DE VIE.
DOIT-ON CONSULTER RÉGULIÈREMENT UN OSTÉOPATHE ?
A QUELLE FRÉQUENCE CONSULTER MON OSTÉOPATHE ? COMBIEN DE FOIS PAR AN CONSULTER UN OSTÉOPATHE ? DOIS-JE CONSULTER UN OSTÉOPATHE EN PRÉVENTION ? POURQUOI CONSULTER UN OSTÉOPATHE ? QUAND SAVOIR SI JE DOIS CONSULTER UN OSTÉOPATHE ?
Sont autant de questions que nos patients se posent. Voilà quelques éléments de réponses :
La meilleure façon de savoir si vous devez consultez « préventivement » votre ostéopathe est d’écouter votre corps.
En effet, rien ne justifie une séance d’ostéopathie à date fixe ou régulière, par contre savoir repérer chez vous les signes d’un manque de fonction optimum, une douleur résiduelle qui traine un peu, une impossibilité de faire tel ou tel geste, un trouble du transit qui s’installe peu à peu, sont des signes d’appel pour éviter de « rentrer dans le rouge » et de venir en urgence. Il est rare que le corps se mette en panne spontanément sauf en cas d’événements aigus ou traumatiques. Par contre, le système humain ne cesse d’envoyer des signaux plus ou moins perceptibles sur sa capacité à gérer le quotidien. Des gaz, une fois de temps en temps ne sont pas comparables avec une aérophagie fonctionnelle quotidienne, une gêne pour se baisser est différente d’une douleur résiduelle tous les soirs après sa journée de travail, un mal de tête un lendemain de soirée n’a pas grand-chose à voir avec une douleur de crâne régulière, etc.
Sachez écouter les signes que votre corps vous envoie et apprécier les conditions de survenue de cette gêne.
En cas de difficulté à entretenir la physiologie au quotidien, une visite de contrôle ou de « révision » peut s’avérer nécessaire pour ne pas entrainer de crise aigüe de lumbago, de torticolis, de douleur, d’incapacité fonctionnelle qui, alors, paraissent spontanées et inexpliquées. Cette habitude d’écouter les signes avant-coureurs de pathologies fonctionnelles est le meilleur moyen de faire du PREVENTIF en ostéopathie. Cette éducation de tous les jours est plus développée chez les femmes que chez les hommes qui attendent souvent la crise pour consulter. Mais les mentalités sont là pour évoluer.
Histoire du jour… le 4 mars 2019
Des moisissures envahissent une pièce d’une maison. Un scientifique est appelé pour trouver une solution. Il isole le champignon responsable, l’observe, l’analyse, extrait la substance active et sélectionne un produit capable d’éradiquer ce champignon.
Avant que le produit ne soit répandu dans la pièce, une personne entre dans la pièce, et constate le problème. Il ouvre les fenêtres de la pièce. En quelques jours, les moisissures ont disparu.
Se battre contre la moisissure ou permettre à la nature de retrouver l’équilibre ?
Lutter contre le symptôme, ou libérer votre corps afin de mettre en place les meilleures conditions à sa guérison ?
Réflexion du jour… le 17 février 2019
Quelle est votre dernière expérience pour sortir de votre zone de confort ? Lorsque vous avez réalisé quelque chose dans un domaine qui vous faisait peur par exemple ? Rappelez vous votre dernière fois… les émotions qui ont précédé le moment, l’inconfort de la situation puis le bien être qui a suivi… Ce jour-là, vous avez acquis une nouvelle capacité et vous l’utilisez désormais tous les jours dans votre vie! Vous avez augmenté votre zone de confort.
Le but d’une séance d’Ostéopathie Structurelle est de rechercher les zones gelées dans votre tissu – que vous n’utilisez plus – afin de les libérer, de les réveiller. Ce n’est pas forcement très agréable… Vous préférez certainement un massage ou des techniques douces, de relaxation ou d’étirements. A la suite du traitement, vous avez éventuellement quelques courbatures mais vous avez assurément élargi votre zone de confort. En somme, vous avez amélioré votre santé.
Les 3 bonnes raisons de consulter un ostéopathe en vue d’une pause d’un appareil dentaire? (le 12 février 2019)
1- L’appareillage dentaire est réalisé afin de corriger non seulement la position de des dents mais également la position des os de la face. C’est pourquoi il est indispensable de vérifier qu’il n’y ai pas de blocage entre ces différents os.
2- L’appareillage crée des contraintes importantes sur la face qui peuvent se répercuter sur la base du crâne et provoquer des céphalées, des migraines, des douleurs dans l’articulation de la mâchoire ou encore des troubles du sommeil. Il est bon d’investiguer l’ensemble des sutures crâniennes afin d’éviter ces complications.
3- Enfin, à la suite d’une pause d’un appareil dentaire, la position de la tête change. Les premières articulations concernées sont les cervicales. Pour éviter cervicalgies et autres torticolis, une seule adresse : celle de votre Ostéopathe Structurelle !
Quelle différence entre la kinésithérapie et l’ostéopathie? (le 9 février 2019)
Tout d’abord il est bon de rappeler que les deux thérapies sont complémentaires!
La kinésithérapie soigne le symptôme. Son action est localisée sur la structure en souffrance. Pour une tendinite, les soins auront pour but de soulager la douleur par des massages, des étirements, des exercices de renforcement et de la physiothérapie.
En ostéopathie, je cherche à comprendre pourquoi ce tendon s’est enflammé. Je vérifie alors la mécanique locale puis à distance. Je libère les structures responsables de l’apport de sang et de l’innervation de ce tendon. Je termine souvent par des conseils sur l’alimentation, le sommeil, l’activité professionnelle ou sportive de mon patient, etc.
Mon but est de mettre en place les meilleurs conditions pour guérir. Le corps, une fois son équilibre retrouvé, fera le reste… Souvent très rapidement!
Pourquoi manipuler ce n’est pas remettre en place? (le 6 février 2019)
Pour remettre en place, il faudrait connaître la « bonne » place.. Qui serai-je pour prétendre connaître cette place pour vos os ou vos organes?
Pour remettre en place, il faudrait connaître une méthode pour fixer vos os ou vos organes à cette place… Les muscles me direz-vous? Pour moi, les muscles sont les acteurs du mouvements, non de la fixité.
L’important pour moi, c’est que vos os ou vos organes puissent bouger et non rester à une hypothétique place!
L’immobilisme c’est la stagnation, la sclérose.
Comme disent nos amis Suisses: « ça joue ou bien? »
Le mouvement, le jeu, c’est la santé!
La bonne place importe peu, l’important est de pouvoir en changer!
Nous allons voir un ostéopathe quand nous sommes « coincés », « bloqués »… Le but de mes manipulations est, par une impulsion, relancer les échanges liquidiens, améliorer la micro-vascularisation de votre tissu profond et ainsi rétablir sa souplesse et son élasticité. Ma manipulation n’est pas un acte mécanique mais bien réflexe! La finalité n’est pas de remettre en place mais de libérer! Récupérer le jeu…
Bonne nouvelle! car si ça ne craque pas, ce n’est pas un problème! C’est l’impulsion qui compte! Le travail a été fait! Nul besoin d’insister et de forcer… D’où des manipulations sans bras de levier, sans force, et avec une mise en tension minimale.
Deuxième bonne nouvelle! Après votre séance, je vous incite à bouger, à jouer, à danser, tout simplement à Vivre… Vous entretiendrez ainsi la liberté gagnée!
Et si pour guérir, il fallait comprendre… (le 2 février 2019)
Une sciatique n’est pas forcement une compression du nerf sciatique..
Dans la grande majorité des cas, l’arthrose ne fait pas mal…
La natation n’est pas forcément bonne pour votre dos..
Une tendinite, ou une entorse ne se résoudra pas avec 3 semaines de repos..
Et si, pour guérir, la première étape n’était pas de changer de point de vue sur votre problème?
Un Check-up? (le 31 janvier 2019)
Vous comptez bientôt acheter un Vélo sur mesure ou bien des chaussures moulées à votre pied ou encore vous faire faire des semelles?
Alors avant tout, venez contrôler que vos articulations soient libres. En effet, un simple blocage dans la sacro-iliaque par exemple, peut faire croire à une jambe courte, ou modifier votre geste sportif, votre foulée, votre pédalage..
Alors n’hésitez pas, avant vos achats du printemps, filez voir votre ostéo et faites un check-up!
Petite réflexion sur les genoux (le 29 janvier 2019)
Vous allez bientôt au ski? Mettez toutes vos chances de votre côté pour protéger vos genoux!
De nombreuses ruptures de ligaments se déroulent lors de chutes à très faible vitesse.. Vous vous demandez pourquoi?
La pré-existence de points fixes autour de l’articulation change la mécanique de celle-ci et augmente les contraintes sur vos ligaments lors de flexions ou rotations forcées.. et crac un croisé!
Afin d’éviter ce genres de mésaventures, rendez-vous chez votre ostéopathe, pour libérer vos genoux et skier l’esprit tranquille!
Le Diaphragme (le 25 janvier 2019)
Saviez-vous que nombreux cyclistes professionnels perdaient de la capacité respiratoire durant leur carrière?
Et oui, c’est un fait! Les efforts violents et prolongés sur un vélo ont tendance à verrouiller les côtes, le diaphragme, et ainsi diminuer l’ampliation thoracique!
Dès lors, de nombreux cyclistes, même au plus haut niveau ne respirent plus par leur ventre.. à quoi bon travailler la VO2 si c’est pour n’utiliser qu’une partie de sa ventilation???
Ces blocages sont souvent les causes de douleurs dans la nuque et les épaules.. ça vous parlent amis cyclistes?
Rien ne vaut des séances d’ostéopathie afin retrouver l’ouverte thoracique, une respiration diaphragmatique ample et ainsi commencer les exercices de respiration abdominale sur votre machine!
Le craque c’est quoi? (le 25 janvier 2019)
« Fais pas craquer tes doigts, tu vas avoir de l’arthrose! »
Nous avons tous, au moins une fois, entendu quelqu’un dire ça… et bien c’est faux..
Le craque ne vient pas des os et ce bruit n’est pas la conséquence des frottements des surfaces articulaires les unes contre les autres..
En réalité, ce « craque » est une bulle de gaz qui explose dans le liquide synovial de vos articulations. En effet, lors de la compression ou de la décompression d’une articulation, de minuscules bulles se regroupent pour en former une plus grosse et explose. Plutôt elle implose.. nous appelons ça, le phénomène de cavitation!
Ce gaz mettra plusieurs minutes pour se reformer dans le liquide synovial… rien de nocif donc!
Mais si vous ressentez le besoin de vous craquer le dos, les chevilles ou encore les doigts à longueurs de journée alors il est grand temps d’aller voir votre ostéopathe car vous avez certainement des blocages anciens que seul un spécialiste pourra traiter…
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Le Concept Structurel ? le 18/01/2019
Le structurel c’est quand ça craque ! FAUX !
En ostéopathie, il existe les thérapies fonctionnelles et les thérapies structurelles.
Avant tout, il est utile de rappeler que la structure génère la fonction. Si la structure est en bon état alors la fonction sera bonne. Partant de ce constat, il est bon de se demander si le traitement en ostéopathie vise la structure ou la fonction…
Si nous parlons de gain d’amplitude, de mobilité, d’étirements, bref demouvement etc. alors nous parlons de thérapie fonctionnelle.
Le concept structurel vise a changé l’état du Tissu Conjonctif… La suite sur https://osteopatheaixlesbains.com/losteopathie-du-sport/